« Pour être franche, je trouve qu’écrire dans un journal c’est une grosse connerie, mais ma sœur m’a dit que c’était super pour laisser sortir tout ce qu’on a sur le cœur. Enfin, je reste sceptique. Donc voilà, je m’appelle Quinn Santana Stowe, je suis née le 7 aout à Florence en Italie. J’ai vingt trois ans et j’étudie le chant et la danse à l’université Bohemian Rapsody. Mes parents ont eu cinq enfants, j’ai un grand frère et une grande sœur ainsi que deux petits frères qui sont jumeaux. Je n’ai jamais été vraiment proche de ma famille, j’étais seulement la plus jolie ce qui rendait folle de rage ma sœur, même si elle se sentait proche de moi. Depuis que j’ai quatorze ans je suis attirée par les garçons, par le sexe et par la fête. J’ai couché pour la première fois avec un garçon quand j’avais quatorze ans justement, et depuis le temps j’ai de l’expérience, et oui, j’adore surtout utiliser des déguisements, des jouets, etc… Je ne suis pas pour autant une mauvaise élève, au contraire j’aime beaucoup ce que je fais et je me donne au maximum pour réussir. Je fais partie de l’élite de mon université et j’aime draguer les garçons. Je n’ai pas beaucoup d’amis parce que je n’aime pas faire confiance aux gens, je le sais très bien et il ne faut pas chercher à me manipuler ou vous finirez par l’être. Je n’ai jamais eu peur d’enfreindre les règles, coucher avec les professeurs, enfreindre les couvres feu, etc… Et oui, de toute façon je sais bien que je suis trop douée pour être virée.
Niveau chant je n’ai pas de répertoire particulier, je chante de tout, et mes professeurs sont très fiers de moi. A l’université je suis super contente, il y a des tas de mecs canons qui me courent après et j’en profite évidement, heureusement que je suis toute seule dans ma chambre ! J’aime aussi la nuit aller me promener dans les couloirs et entrer dans les chambres de personnes que je connais pas, du moins en apparence, je repère ou les suit puis, vu que nous avons tous la même clé entre dans leur chambre en prétextant m’être trompée car je suis trop bouleversée, je verse une ou deux larmes et op ! Dans le plumard.
Vous voyez, je suis sans pitié, mais après tout, je ne vois pas pourquoi je ferais des cadeaux aux gens, il faut prendre la vie comme elle vient, vous vous reposerez quand vous serez morts ne vous inquiétez pas ! »